Le réchauffement climatique a parfois des effets foudroyants… sur la réflexion et le bon sens de l’homo sapiens.
Mais il faudrait – pour être politiquement et climatologiquement correct – parler plutôt de changement ou de dérèglement climatique, ces termes étant les substituts sémantiques à «réchauffement» quand des aléas météorologiques rétifs à la doxa et rebelles aux statistiques viennent épisodiquement doucher froidement des enthousiasmes vengeurs, tempérer l’emballement du mercure, et pourraient insinuer un méchant doute dans l’esprit de non moins méchants climato-indécis ou climato-attentistes…