J’ai évoqué, il y a bien des années, la réponse que fit un vieux paysan écossais à celui qui allait devenir l’un des plus grands écrivains britanniques.
A.J. Cronin, jeune médecin, se trouvait alors au tournant de son existence, ainsi que plus tard, il le soulignera fortement.
Et les paroles, et l’exemple, du vieil Angus deviendront pour lui comme la pierre angulaire de toute son action future.
La leçon que reçut A.J. Cronin, garde toute sa valeur pour nous, hommes et femmes de ce XXIe siècle, plus superficiel, hédoniste et agité que jamais…