Sa première pièce de théâtre, «Le Page», fut jouée en 1902, mais c’est trois ans plus tard qu’il rencontra son premier succès avec «Nono».
Durant sa vie, il écrivit 124 pièces de théâtre. C’est surtout à partir des années 1930 qu’il s’intéressa au cinéma, ce qui accrut encore sa renommée.
On lui doit la découverte de nouveaux talents : Louis de Funès, Darry Cowl, Michel Serrault…
Il dirigea un grand nombre d’acteurs connus : Jean Gabin, Jean Marais, Orson Welles, Yves Montand, Brigitte Bardot, Robert Lamoureux… réalisant 36 films, ainsi que de grandes productions historiques comme «Si Versailles m’était conté», «Napoléon»…
Ses dialogues étaient souvent incisifs et percutants, et révélaient un homme à l’humour caustique et à la verve facile. Il voulait marquer les esprits par sa fin, comme il avait marqué ses contemporains durant sa carrière. Amateur de bons mots, il souhaitait quitter cette vie sur une saillie humoristique, ne pas «manquer sa sortie», comme pour une pièce de théâtre. Il est mort d’une longue maladie en juillet 1957 à Paris.
Mais cet auteur prolifique n’avait-il pas oublié l’essentiel ?
S’attacher à obtenir la faveur des hommes est une chose, mais a-t-il réalisé que la sortie de la vie présente précède l’entrée dans la vie future, dans l’au-delà ?
Allait-il chercher à se préparer au jugement de Dieu sur sa vie ?
La Bible l’affirme clairement: «Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement». Que l’on y croie ou que l’on n’y croie pas, cela ne change rien à la réalité, cette perspective est à prendre en compte, tant ses conséquences éternelles sont importantes.
Car Dieu n’est pas une abstraction, des millions d’hommes et de femmes à travers le monde et au cours des siècles peuvent en témoigner. A chacun de bien se positionner face à l’éternité et à l’évangile qui annonce à tous les hommes que «Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle» (La Bible).